Le Petit Marseillais, mes souvenirs d’enfance

Ces effluves qui évoquent le pays de l’huile d’olive et sur lequel souffle un vent de nostalgie me font, malgré moi, sourire lorsque mon regard se pose sur ce cube de savon. Et des images surviennent…cubes empilés qui embaumaient la pièce qui, l’été, nous servait de salle de bain – c’était la buanderie. Chaque maison en Provence – mas ou maison de village – possède sa buanderie.

Je sens fortement que derrière votre écran vous maugréez : «  ça y est, elle recommence ! Mais c’est qu’elle nous prend un bon coup de vieux, notre Élodie ! ».

STOP, STOP, les femelles ! Je vous arrête tout de suite, car quand vous allez savoir que CE SAVON LÁ, il cause !!! Et oui il est tellement évocateur d’authenticité, de légendes, de mythes que lorsque je soulèverai un voile sur l’identité de CE SAVON, et bien vous serez bien penaudes ! 

Le nominé est Le petit Marseillais.
C’est 72 % extra pur à l’huile d’olive qui fait qu’il hydrate et nourrit parfaitement notre épiderme. Mais ne faites pas l’impasse sur votre crème corporelle car elle a des agents actifs que ne possède pas notre « Petit Marseillais ».
Fidèle à sa forme cubique originelle, il tient facilement dans la main. Bien qu’à une certaine époque, il se subtilisait au shampoing, je ne le conseille pas pour cette utilisation.

Mais peuchèèère, c’est un peu de soleilado que vous aurez dans votre salle de bain et le grincement ne viendra pas de vos genoux , c’est le chant des cigales.


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